Cela faisant déjà quelque jour depuis le meurtre de son maitre, les autorités avaient placardés des avis de recherche un peu partout dans la ville. Shi était devenu un criminel, il avait commit un crime pour être libre, mais qu’est ce que la liberté pour lui ? Un rêve dont tout le monde parle, mais que personne ne sait à quoi ça ressemble. Shi l’avait souvent entendu dans les paroles des servantes de son ancien maitre. A les entendre ça avait l’air incroyable, bien entendu le jeune ange déchu ne comprenait pas vraiment. Enfaite il croyait que la liberté était une personne qui pouvait sauver le monde. Vivre pendant plus de 15 ans derrière des murs sans que personne ne fasse attention à vous, peu prêter certaine confusion. Shi se cachait des hommes en uniformes, il avait aussi entendu par la bouche du jardinier qui parler au major d’homme, que ses hommes son très dangereux et travail pour la justice. Pour le garçon aux yeux rouge feu, la justice devait être une mauvaise personne qui voulait de mal à madame la liberté. Ce déplaçant dans l’ombre des murs, comme le ferait un ninja, mais malheureusement à cause de ses ailes surdimensionnés, qui ses dernier était bien plus grande que la normal, celle-ci mesure prés de six mètre de long sur un mètre vingt de large. Pas très pratique pour voler ou se déplacer. Il les a donc attacher fortement contre lui avec une corde pour éviter de trébucher en marchant dessus. Il évita plusieurs fois de se faire prendre et par chance, il arriva enfin à la sortit de la ville, mais des gardes attendait de pieds ferme sur le sol prés de la grande porte. Shi devait trouver un moyen de passé et volé était impossible, il rebroussa chemin quand son ventre grogna, il avait l’estomac dans les talons et rien à manger sur lui. Tout à coup il remarqua des pommes étalés dehors prés d’un magasin, il en baver presque. Mais prendre sans demander la permission était du vol, il l’avait très vite appris au manoir de son maitre et avait était punit sévèrement. Que devait-il faire ? Voler n’était pas bien, mais mourir de faim ça il ne voulait pas. La faim gagna sur la raison et il se dirigea furtivement vers les pommes. Il tendit la main pour en prendre une, juste une, encore un peu, il y est presque, encore un effort.